Qui va financer ?

Vu la situation économique et sociale du pays, des finances de l'Etat, les perspectives sont peu encourageantes :

Ils savent que le privé doit investir et créer de la richesse, mais pour les promoteurs privés, il faut un profit maximum et le logement n‘est pas très rentable ; c'est pour cela que nous devons inclure des commerces, des bureaux, des services, une maison de repos, afin que ce soit attractif pour les utilisateurs mais aussi rentable raisonnablement pour les investisseurs.

 

Il n'est pas impossible qu'une banque publique, doive initier la récolte des fonds, pour inciter les banques spécialisées à rejoindre le projet.

 

C'est l'Etat qui doit prendre l'initiative et entraîner les investisseurs,  en prenant des participations et autres fonctions de contrôles ; en mettant des terrains désaffectés à disposition au départ.

 

Les risques de la bourse étant là, certains investisseurs, recherchent la sécurité et l'immobilier neuf en fait partie. Des milliards, il y en a ;
il faut donc favoriser les sociétés d'investissement par une mise à disposition de terrains susceptibles d'accueillir les premiers sites climatisés.

Par après, nous comptons sur leur succès pour incorporer les villes existantes.

 

Il faut se rappeler que certains fonds de pension ont fait faillite aux Etats-Unis ; pourtant gérés par le privé ... (Sans commentaire)

Les fonds de pension devraient être chapeautés par les pouvoirs publics afin de n'investir que dans des secteur comportant très peu de risque.

C'est là que se trouve l'argent dont a besoin le fond d'investissement privé-public pour gérer la construction et la gestion des sites urbains climatisés.

   

Très rentable pour l'Etat, parce que, pour un investissement privé par exemple de 1 milliard d'euro, l'Etat va en récupérer 500 millions par les TVA sur la construction, les taxes sur salaires et impôts divers sur les sociétés fournissant les matériaux !
Ces montants ne tiennent pas compte de la mise au travail de plusieurs milliers de personnes et donc de la baisse du chômage.

 

Ce montant sera nettement moins élevé au début, mais si la demande devient exponentielle, c'est un développement économique .